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Fleurs de juin pour le miel nouveau
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Fleurs de juin pour le miel nouveau
Nous
sommes à l’apogée de la saison apicole qui coïncide avec le solstice d’été. Dans
la nature, les fleurs n’attendent que la visite des pollinisateurs, pour
échanger un pollen fécondant contre de la nourriture. Voilà le rôle majeur que
notre Abeille remplit si bien pour les trois quarts des végétaux. Sans elle, pas
de miel, mais surtout pas de fruits. Notre ami débutant plus particulièrement
attend aussi cette période, après les longues heures d’observation, de soins
attentifs, peut-être doublés des conseils prodigués par la Page des Jeunes de
l’Abeille de France…. Il surveille l’état de ses hausses qui, si toutes les
conditions sont réunies, lui offriront bientôt une juste récompense. Puisque
tous les espoirs sont permis, voyons comment le nectar deviendra miel, comment
il sera récolté, extrait, maturé, empoté et conservé.
DU
NECTAR AU MIEL
Lorsque
les conditions climatiques sont favorables, les fleurs de certaines espèces
génèrent du nectar qui est un liquide sucré, par l’intermédiaire d’appendices
appelés nectaires. Ceux-ci peuvent être floraux ou extra-floraux.
A l’examen microscopique de la surface d’un nectaire, on aperçoit des glandes en
forme de coupes dans lesquelles perle une goutte de nectar. La composition du
nectar n’est pas forcément celle de la sève élaborée et sa richesse en sucres
diffère d’une espèce à l’autre. Ceux-ci sont essentiellement du saccharose, du
fructose et du glucose dans des proportions également variables suivant les
espèces, comme l’indique par exemple le tableau suivant :
Nom de la plante | Fructose | Glucose | Saccharose |
Hippocastanaceae Aesculus hippocastanum Rosaceae Pyrus communis Pyrus malus Prunus avium Prunus cerasus Prunus domestica Rubus idaeus Leguminosae Robinia pseudacacia Trifolium repens | 2,6 41,3 15,8 22,2 42,1 35,3 49,7 33,6 13,3 | 1,1 54,8 15,8 21,1 40,0 33,9 48,8 9,7 16,4 | 96,3 3,9 68,4 56,7 17,9 30,8 1,5 56,7 70,3 |
Plusieurs facteurs interviennent sur la sécrétion nectarifère que
l’apiculteur appelle “miellée” :
l’humidité atmosphérique : le délavage pluvial ou au contraire la sécheresse supprime la production du nectar. Dans ce dernier cas, celui-ci peut même cristalliser sur place. | |
La variation de la teneur en eau du sol : celle-ci se répercute sur l’intensité de l’exsudation nectarifère. | |
La température : celle optimale se situerait entre 12 et 25°. Les températures extrêmes ont une incidence défavorable sur la production de nectar. | |
L’anthèse (phase de maturité de la plante avec libération du pollen) coïncide avec l’exsudation. Sa durée est variable, tout comme le moment de la journée où les sécrétions s’opèrent. |
composition en sucres, l’accessibilité des nectaires peut poser problème à la
butineuse. Quand dans certaines plantes, ils sont placés trop profondément dans
la corolle, la langue de l’abeille trop courte ne peut atteindre le précieux jus
sucré. Heureusement, il arrive que d’autres pollinisateurs perforent de
l’extérieur la base de la corolle ; l’abeille peut emprunter ensuite ce passage
pour prélever sa part.
On peut observer ce type de partenariat sur la grande Consoude : la fleur n’est
butinée par l’abeille qu’après perforation de la corolle par la guêpe ou le
bourdon. Grand merci à eux !
Dans le jabot de la butineuse, le nectar subit une première transformation sous
l’effet des diastases, invertases, gluco-invertases produites par les glandes
hypopharyngiennes de l’abeille. Au retour à la ruche, elle transmet sa charge en
cours d’élaboration à une de ses sœurs qui poursuit le processus de
transformation du nectar en miel.
En cas de forte miellée, ce passage de jabot à jabot concerne moins d’ouvrières,
car un maximum d’entre elles sont occupées aux champs. Par contre, en cas de
temps court de miellée, la chaîne des jabots s’allonge et le produit n’en sera
que plus élaboré.
L’élimination de l’excès d’eau du nectar en cours de transformation occupe
d’abord certaines ouvrières qui successivement ingurgitent et régurgitent la
goutte de nectar en l’étalant sous la langue. Cette manœuvre répétée rapidement
pendant 15 à 20 minutes, provoque l’évaporation d’une partie de l’eau. Lorsque
le pourcentage de celle-ci tombe à environ 40 – 50 % , la goutte est déposée
dans une cellule et les ventileuses activent le travail d’évaporation de l’eau
excédentaire.
Le produit ne devient miel que lorsque sa teneur en eau passe sous la barre de
18 à 20 %. A partir de ce moment, les ouvrières déposent un opercule de cire
imperméable sur la cellule, qui empêchera toute absorption d’eau par le miel.
Celui-ci se conserve alors en l’état plusieurs mois sans fermenter, malgré
l’atmosphère parfois très humide dans la ruche, en période d’hiver.
QUAND
RECOLTER ?
Nous
l’avons écrit précédemment, le miel est mûr dès que les cellules sont
operculées. Par conséquent, nous n’extrairons de la hausse que les cadres dont
l’operculation est au moins supérieure à 80 %, afin d’obtenir un miel dont la
conservation ne posera pas de problème. Si l’operculation est jugée
insuffisante, le plus sage sera de repousser le moment de la récolte. Par
ailleurs, avant de prélever, il est prudent de vérifier qu’il reste une dizaine
de kilos de provisions dans le corps de ruche. En effet, il est arrivé, le plus
souvent en montagne, que des colonies meurent de faim après une récolte
printanière, suivie d’un été pourri, froid, pluvieux, sans miellées secondaires
pour assurer les besoins des colonies. Dès que le moment est venu, nous
choisirons une journée de beau temps pour intervenir : pas de vent, pas d’orage.
A quel moment de la journée opérer ?
Tôt le matin, les ouvrières sont toutes dans la ruche et, au calme apparent,
peut succéder un désordre provoqué par une récolte et il peut y avoir risque
pour qui circule dans l’environnement proche.
En fin d’après-midi, les ouvrières sont moins nombreuses dans la ruche, mais
l’activité est bien visible. C’est probablement le meilleur moment pour récolter
car la période de désordre sera plus courte : l’ordre et la tranquillité
reviendront dans la nuit. De plus, l’idéal est d’organiser l’extraction des
cadres dans la foulée, pendant que le miel est encore chaud : il coule bien, se
filtre aisément et se décante bien mieux s’il a été transvasé tiède dans le
maturateur.
Enfin, il faut préconiser la prudence pour ceux qui posent des ruches à
proximité de champs de colza : ils doivent surveiller la floraison. Dès que le
jaune de la fleur vire au brun, il faut récolter et extraire sans attendre : en
effet, le miel de colza, riche en glucose, cristallise rapidement. Autre
production à surveiller, celle issue de ruches placées à proximité de forêts de
mélèzes. En cas de production de miellat de cette essence, il y a une grande
probabilité que ce miel contienne une bonne proportion de mélézitose. Alors,
l’extraction est urgente et risque fort de poser problème : ce miel visqueux de
couleur blanche refuse bien souvent de sortir des alvéoles. Si l’on augmente la
vitesse d’extraction, les cadres se disloquent sous l’effet de la force
centrifuge. Nos collègues de la Vallée d’Aoste en Italie connaissent bien ce
problème et préconisent de déplacer les ruches dès les premiers symptômes de
manne de mélèze. On le vérifie surtout par la constatation d’une prise de poids
très rapide des ruches. Elle ravit d’abord l’apiculteur mais celui-ci déchante
ensuite devant une pile de hausses impossibles à extraire.
PREPARER
LA RECOLTE
Si l’opération de récolte couronne l’année apicole, elle se révèle parfois
piquante. Aussi, l’apiculteur et plus particulièrement le débutant, doit la
préparer dans les moindres détails. Loin de nous faire perdre du temps,
l’inventaire du matériel à rassembler nous en fera gagner : l’enfumoir avec son
carburant, la balayette à poil doux, le lève-cadres, une hausse vide fermée ou
une caisse à cadres, un seau, de l’eau tiède, une éponge…
Nous n’oublierons pas le vêtement de protection qui doit rester constamment prêt
à être utilisé pour braver une éventuelle rebuffade d’une ruche à qui on prélève
le fruit de son travail. Pour ceux qui peuvent utiliser le chasse-abeilles, il
faut en prévoir 2 ou 4 pour équiper 1 ou 2 couvre-cadres. Enfin, les adeptes des
répulsifs doivent faire le choix du bon produit ou du moins mauvais comme le
Benzaldehyde qui, de toutes façons, doit être utilisé avec précaution :
introduire de la « chimie » dans la ruche peut laisser des traces.
LA
PREMIERE RECOLTE
Il existe au moins 4 méthodes pour récolter : par brossage, avec l’utilisation
du chasse-abeilles, avec un répulsif et enfin avec un souffleur à abeilles.
Voyons comment procéder pour chacune d’entre elles.
Par brossage D’abord, on enfume modérément, puis on enlève le couvre-cadres de la hausse, on prend ensuite chaque cadre et on l’examine : s’il est suffisamment operculé, on le débarrasse de ses abeilles, d’abord par une bonne tape sur la barrette supérieure du cadre et ensuite à l’aide de la brosse. Sans perdre de temps, les cadres prélevés sont rangés dans la hausse vide ou la caisse à cadres. Les cadres non prélevés (insuffisamment operculés ou contenant du couvain) sont rangés au centre de la hausse et on complète celle-ci par des cadres vides. La hausse est enfin recouverte ainsi que la caisse de récolte pour éviter le pillage. Eventuellement on donne un coup d’éponge pour supprimer quelques coulures de miel. | |
Avec le chasse-abeilles Quelle que soit sa forme, ronde, ovale, en cône, cet appareil ne permet le passage des abeilles que dans un seul sens. Il s’inscrit dans un couvre-cadres d’une seule pièce (contreplaqué épais) et peut-être doublé ou triplé pour augmenter le débit de passage des abeilles de la hausse vers le corps de ruche. La veille du jour dit, on place le couvre-cadres dans le bon sens. L’idéal est de pratiquer cette manœuvre à deux : pendant que l’un lève la hausse, l’autre place le couvre-cadres et la hausse peut être reposée. Si l’on travaille seul, la manœuvre est un peu plus longue, mais on y arrive. Le lendemain, la hausse est vide d’abeilles et le prélèvement s’opère comme dans le premier cas, mais sans abeilles. Il arrive parfois à l’ouverture de la ruche que les abeilles soient encore présentes. Il y a deux raisons possibles à cela : 1) La reine était encore dans la hausse et elle est restée bloquée avec bon nombre d’abeilles. Il faut alors enlever le couvre-cadres chasse-abeilles et repousser la reine et ses filles dans le corps de ruche. 2) Le couvre-cadres chasse-abeilles était posé sens dessus dessous ! Dans les deux cas, on le replace après avoir vérifié qu’il n’y a pas de couvain dans la hausse, mais le prélèvement est à reporter de 24 heures. | |
Les répulsifs Les écologistes vont s’insurger : pourquoi introduire de la « chimie » dans la ruche, alors qu’il existe des méthodes de prélèvements écologiques ? La question est pertinente mais, puisque la méthode existe, il faut la connaître. Deux répulsifs existent dans le commerce apicole. La méthode consiste à imprégner un couvre-cadres d’une pièce, sur lequel on fixe une toile de jute sur l’une de ses faces (l’isorel mou convient bien aussi). Au moment de prélever, on répartit quelques gouttes du produit sur la face absorbante (isorel mou ou toile de jute) du couvre-cadres, que l’on applique sur la hausse découverte. En quelques minutes, les abeilles désertent la hausse et rejoignent le corps de ruche. On enlève alors le couvre-cadres équipé et on le dépose sans attendre sur la ruche suivante préalablement découverte. On dispose alors de quelques minutes de tranquillité pour prélever les cadres operculés avant que les ouvrières ne remontent en hausse. Attention toutefois : si l’on imprègne trop le couvre-cadres ou s’il reste trop longtemps sur la hausse, les abeilles peuvent quitter la ruche jusqu’à former la barbe à l’extérieur. Par ailleurs, l’odeur du produit peut se transmettre au miel… Dans tous les cas, il ne faut jamais qu’il y ait contact entre la matière imprégnée (toile ou isorel mou) et la barrette supérieure des cadres. Ceux-ci risqueraient de conserver l’odeur répulsive. Prudence et encore prudence de la part de celui qui serait tenté par l’utilisation de répulsifs. | |
Par soufflage C’est la méthode plutôt réservée aux apiculteurs possédant un cheptel important, puisqu’il faut avoir investi dans un souffleur (environ 300 euros pour un thermique). La première opération consiste à repousser sommairement les abeilles vers le corps de ruche, principalement la reine si elle se trouve dans la hausse. On décolle ensuite la hausse et on la place sur champ. On souffle alors par l’arrière. Les abeilles sont projetées et retournent à la ruche. Le prélèvement partiel ou total des cadres ne pose plus de problème. Si la méthode est efficace, elle est aussi expéditive. |
DOUBLER
LA HAUSSE
Lorsqu’une
hausse est remplie, il n’est pas obligatoire de l’extraire immédiatement (sauf
s’il y a risque de cristallisation rapide). On peut poser une deuxième hausse au
choix sur ou sous la première, mais, autant faire simple et la poser dessus.
C’est plus rapide, moins fatigant, surtout si l’on travaille seul. De plus, cela
permet de vérifier régulièrement si, par chance, la seconde se remplit.
LA
MIELLERIE
Si tous les apiculteurs ne possèdent pas de miellerie, il est impératif que tous
extraient dans un local propre, sec, ventilé, avec une source d’eau chaude et
protégé des pillardes. Le mieux serait de posséder également une source de
chaleur pour maintenir les hausses à désoperculer à une bonne température, 20 –
25°, ainsi qu’un déshumidificateur, pour le cas où les cadres seraient
insuffisamment operculés. Le débutant doit penser à s’équiper en matériel, neuf
ou d’occasion, toujours en acier inoxydable, tant pour le bac à désoperculer,
que pour l’extracteur, les filtres, le maturateur ….
Un couteau électrique avec thermostat remplace avantageusement l’ancien couteau
que l’on trempait dans l’eau chaude ! les seaux par contre peuvent être en
plastique de type alimentaire, dont l’utilisation sera multiple.
La qualité des matériels utilisés et l’état de propreté des lieux influent sur
le produit final, le miel, qui est une production noble. L’apiculteur en est
responsable et tout manquement aux règles d’hygiène peut lui être reproché, si
son miel est cédé ou commercialisé.
L’EXTRACTION
Comme suggéré plus haut, l’idéal est d’extraire les cadres quand ils sont encore
tièdes. Le miel sortira, se filtrera plus facilement. A l’aide du couteau
électrique, on désopercule les deux faces d’un cadre (sans caraméliser)
au-dessus d’un bac. On place, au fur et à mesure, les cadres désoperculés dans
l’extracteur. Il est judicieux d’équilibrer la charge, si l’on veut éviter un
balourd dangereux pour l’axe de l’extracteur.
A la sortie de l’extracteur, le miel passe par une double filtration : la
première élimine les grosses impuretés, telles que bois, cire, abeilles mortes…
La deuxième retient les plus fines. Le miel est ensuite versé dans le
maturateur, lequel est recouvert d’un tamis et d’un couvercle.
LA
MATURATION et EMPOTAGE
Dans
le maturateur, le miel se repose, décante. Les parties légères, indésirables
–microbulles d’air, particules de cire- montent en surface et forment une écume
que l’on peut enlever, si la miellerie est parfaitement sèche. Si ce n’était pas
le cas, ce film protecteur pourrait être un isolant de l’humidité. Le miel est
hygroscopique : il absorbe l’humidité de l’air. Et, plus un miel est riche en
eau, moins bien il se conserve. Durant la phase de maturation, pendant laquelle
le miel doit rester liquide (à surveiller, sous peine d’une cristallisation
rapide interdisant le soutirage), il s’opère des mouvements dans la masse : le
miel plus dense coule tandis que le miel moins dense monte en surface.
Nous tiendrons compte de cette « séparation » au moment de l’empotage. La
première moitié soutirée du maturateur sera stockée pour une plus longue
conservation, alors que la seconde moitié sera à consommer en priorité.
Au bout d’une quinzaine de jours (moins pour le miel de colza qui cristallise
rapidement, car riche en glucose et que l’on surveillera comme le lait sur le
feu), on peut mettre en pots ou en bidons. Sur les pots destinés à être cédés ou
vendus, figureront :
-la masse nette,
-le nom et l’adresse du producteur
-le mot « MIEL » qui peut être suivi d’une origine florale justifiée (ex. miel
de tilleul).
-l’indication « Origine France »
-et la mention « A consommer avant le … ».
Cette date s’exprime en jours, mois et année. La période est laissée à
l’appréciation de l’apiculteur : nous lui suggérons deux ans, à partir de la
date d’empotage.
LE
STOCKAGE
Les
pots ou seaux seront stockés dans un local à l’abri des U.V. (pour les pots
transparents), de l’humidité et de la chaleur. La température idéale de
conservation est de 14/16°, mais c’est aussi celle favorable à une
cristallisation rapide… A plus haute température, la cristallisation est
ralentie, mais le processus de vieillissement accéléré… De deux maux,
choisissons le moindre, avec un seul objectif : récolter, conditionner, proposer
un produit d’excellente qualité.
L’hiver a été long, fortement enneigé en altitude et logiquement, la végétation
a pris du retard. Pour elle, pas de problème : le rattrapage est naturel et la
floraison de juin et sa miellée ne devraient pas être significativement
retardées. Par contre et pour les mêmes raisons, les colonies ont aussi pris du
retard à la sortie de l’hiver et celui-ci ne se rattrape pas : quelles que
soient les conditions climatiques et supplications de l’apiculteur, il faut
toujours 42 jours pour faire une butineuse. Espérons que le décalage prévisible
–du nectar dans les corolles mais moins de butineuses pour le rapporter à la
ruche – n’ait pas d’incidence notable sur la récolte.
« L’esprit de la ruche » fera en sorte de rétablir ce déséquilibre en
réorganisant peut-être le travail intérieur des ouvrières. Laissons-les faire…
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<blockquote>
Bruno CARTEL
</blockquote>
</blockquote>
Re: Fleurs de juin pour le miel nouveau
salut c'est djebbar agronome j’aimai bien de m'envoyer les docs dans ma boites merci
guedjali- Messages : 1
Date d'inscription : 01/12/2013
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