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    Modernisation de l'apiculture algérienne

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    Modernisation de l'apiculture algérienne Empty Modernisation de l'apiculture algérienne

    Message par Admin Sam 13 Aoû - 13:17

    -L'apiculture
    algérienne est pratiquée dans de nombreuses et vastes régions où la flore
    mellifère est abondante et variée. Toutefois, en raison d'une exploitation
    insuffisante et routinière, elle n'arrive pas à satisfaire les besoins locaux
    ; aussi, la nécessité d'étendre, d'améliorer et de moderniser les mé­thodes
    apicoles a-t-elle conduit l'Administration à prendre l'initiative de procéder
    aux améliorations les plus urgentes suivant un programme dont les causes
    déterminantes et les buts essentiels font l'objet de cet exposé.

    POSSIBILITES
    APICOLES DU PAYS

    ----------Les
    trois départements algériens sont incontestablement riches de possibilités
    apicoles. L'abeille d'Algérie, très proche de l'abeille noire d'Europe,
    est robuste et bien acclimatée. Elle dispose d'une abondante flore mellifère,
    subspontanée et cultivée. A l'exception des régions désertiques des Hauts-Plateaux
    et du Sud, l'apiculture est, en Algérie, largement pratiquée dans les
    régions montagneuses à population dense (Kabylie, Aurès), dans les plaines
    littorales (Mitidja), dans les plaines intérieu­res (Mascara), dans les
    vallées des grands oueds (Soummam).


    ----------Parmi
    les très nombreuses espèces végétales qui forment la flore spontanée algérienne,
    certai­nes se rencontrent en peuplements importants. Ce sont, en montagne,
    la bruyère rose (Erica muni-fiera L.), l'arbousier (Arbustus unedo L.),
    la lavande (Lavandula stoechas L.), le romarin (Rosmarinus officinalis
    L.), de nombreuses variétés de thym, de cistes, d'asphodèles, l'astragale
    (Astragalas monspessulanus L.), l'euphorbe (Euphorbia nicæensis ALL),
    la marrube vulgaire (Marrubium vulgare L.), ces deux dernières plus particulières
    au massif de l'Aurès, le Thuya (Callitris articulata), l'inule visqueuse
    (Inula viscosa Ait), etc...


    ----------Dans
    les régions prémontagneuses de Grande et Petite Kabylie, deux variétés
    de sainfoin (He­dysarum flexuosum L. et H. coronatum L.) couvrent de grandes
    superficies.


    ----------Dans
    les terres argileuses des Sahels et des vallées montagneuses, les ombellifères
    du genre Daucus, constituent des peuplements importants.


    ----------Dans
    les plaines fleurissent l'oxalis (Oxalis cernua Th.), les ravenelles (Sinapis,
    Diplotaxis, Si­symbrium, Rapistrum, Raphanus, etc...), la bourrache (Borrago
    officinalis), les vipérines (Echium sp.), les mélilots, les chardons (Onopordon,
    Silybum), les centaurées, etc...


    ----------La
    flore subspontanée est principalement représentée par l'eucalyptus importé
    d'Australie en 1863. La floraison estivale de cette essence, très mellifère,
    produit un miel d'excellente qualité. Il en existe actuellement un très
    grand nombre d'espèces plantées en bordure notamment des voies de communication,
    sur les berges des cours d'eau, dans les forêts reconstituées, dans les
    fermes.


    ----------Quant
    à la flore mellifère cultivée, il convient de citer les rosacées de vergers,
    communes à la France et à l'Algérie, ou particulière à celle-ci, le néflier
    du Japon (Eriobotrya japo:iica Lindl.) par exemple, dont la floraison
    automnale est précieuse, les agrumes (Citrus divers), qui produisent un
    miel renommé, les fourrages artificiels, tels que la luzerne, le trèfle
    d'Alexandrie (Trifolium alexan­drium L.), les plantes de grande culture,
    comme la lentille (lens esculenta L.), ou de culture indus­trielle, comme
    le cotonnier.


    ----------La
    diversité de la flore algérienne et la douceur relative du climat ménagent,
    dans certaines régions du littoral, des miellées successives s'étendant
    sur l'année entière, chaque saison se parant d'une floraison particulière.


    ----------Malgré
    ces conditions favorables, la productionalgérienne en miel, de l'ordre
    de 4.000 à 5.000 quin­taux par an, est inférieure aux besoins de la consommation
    locale, alors qu'elle devrait être supérieure et être à l'origine d'un
    courant d'exportation important.


    CAUSE
    DE L'INSUFFISANCE ACTUELLE DE LA PRODUCTION APICOLE ALGERIENNE

    ----------Cette
    insuffisance de production procède de causes multiples. C'est, en premier
    lieu, le rendement insignifiant des quelque 150.000 colonies logées en
    ruches vulgaires. Le type de ces dernières varie selon la matière première
    utilisée pour sa construction : liège dans les montagnes du littoral,
    férule dans les plaines, alfa dans les Bibans et le Sud Constantinois.
    Elle affecte une forme allongée, d'un mètre environ, de section carrée
    pour la ruche en férule, cylindrique pour la ruche en alfa ou en liège
    : une exception est fournie par la ruche en alfa tressé de l'Aurès, dont
    la forme co­nique est une survivance des ruches romaines introduites dans
    ce massif par les vétérans de Lambèse et de Timgad. Quel qu'en soit le
    type, la ruche vulgaire, instrument d'élection de l'apiculture tradition­nelle,
    ne se prête en aucune façon à une production intensive, en raison de sa
    faible capacité. Bien plus, des procédés d'exploitation archaïques, tels
    que la taille, au moment de la récolte, de la totalité des rayons, amènent,
    chaque hiver, la perte de 50 % des colonies et contribuent à réduire un
    rendement déjà bien faible. En fait, la moyenne de production annuelle
    d'une ruche vulgaire est de 2 à 3 kilos.


    ----------Une
    seconde raison de l'insuffisance de l'apiculture algérienne est le nombre
    trop restreint de ruches à cadres en exploitation.


    ----------En
    1904, moins de 1.000 apiculteurs, professionnels ou non, exploitaient
    10.000 ruches à cadres, dont le rendement moyen était de 8 à 10 kilos.
    Ces chiffres n'ont guère varié, ainsi qu'en témoignent des statistiques
    récentes,


    ----------Ce
    petit nombre d'utilisateurs de la ruche à cadres, comparé à celui des
    exploitants de la ruche vulgaire, qui sont plusieurs dizaines de milliers,
    s'explique par le fait que les agriculteurs qui dis-posent des moyens
    financiers nécessaires à la création d'exploitations apicoles modernes
    dirigent, le plus souvent, des entreprises agricoles importantes et ne
    peuvent s'occuper personnellement de tra­vaux apicoles. Ils préfèrent
    s'adresser à des spécialistes. Or, ces derniers, ou bien font défaut,
    ou bien ne présentent pas des garanties de technicité suffisante.


    ----------C'est
    cette absence de spécialistes qualifiés qui, jusqu'à présent, a freiné
    le développement de l'apiculture dans le secteur agricole évolué.


    ----------Quant
    aux rendements des ruches à cadres, l'ignorance des méthodes modernes
    appliquées aux données particulières de l'apiculture algérienne fait qu'ils
    sont nettement inférieurs à ceux qui de­vraient être obtenus et que réalisent,
    il faut le signaler, quelques apiculteurs, malheureusement trop peu nombreux.
    Ceux-ci, en se tenant au courant de l'évolution de l'apiculture, ont perfectionné
    leurs méthodes, au lieu de se cantonner dans les procédés d'exploitation
    transmis, sans modification, depuis plusieurs générations. Pratiquant
    le remérage périodique de leurs ruches, utilisant judicieusement un matériel
    perfectionné, les grilles à reine, par exemple, tirant parti au maximum
    de la miellée par l'étude mellifère de leur région, se livrant à l'apiculture
    pastorale, ils obtiennent des rendements supé­rieurs à 50 kilos et prouvent
    ainsi les possibilités d'une exploitation rationnelle de l'apiculture
    algé­rienne.


    ----------En
    effet, plus que partout ailleurs, le terme rationnel appliqué à la pratique
    de l'apiculture trouve son expression exacte lorsqu'il s'agit de mettre
    au point des méthodes de production inten­sive en Algérie.


    ----------Les
    conditions d'exploitation doivent, en effet, tenir compte de certaines
    particularités du climat algérien. La douceur relative des hivers, la
    pluviométrie qui atteint généralement son maximum entre décembre et février,
    provoquent, dès le début mars, une miellée abondante qui se tarit brusquement
    au mois de mai. L'apparition de cette miellée favorise le développement
    des colonies, l'essaimage bat son plein, dès le début avril ; après l'essaimage,
    la période nécessaire aux colonies pour reconstituer leurs effectifs couvre
    et dépasse même celle pendant laquelle la miellée subsiste encore, si
    bien que les ruches, livrées à elles-mêmes, se présentent, au moment de
    la récolte de printemps, riches en popula­tion, mais vides de miel. C'est
    ainsi que, trop souvent, cette première récolte est perdue et qu'il faut
    attendre celle suivant la floraison estivale des eucalyptus, pour les
    régions où cette essence existe en peuplement suffisant.


    ----------La
    rentabilité de toute exploitation apicole en Algérie est donc subordonnée
    à l'application d'une technique appropriée aux conditions particulières
    du pays.


    -VULGARISATION
    APICOLE

    ----------Dans
    les conjonctures économiques actuelles, où l'accroissement de la productivité
    fait l'objet d'une recherche constante, la nécessité de développer rapidement
    la production apicole du pays ne pouvait échapper à l'attention de l'Administration.


    ----------Le
    programme de vulgarisation arrêté par la Direction de l'Agriculture et
    des Forêts, programme appliqué depuis 1946, porte principalement sur les
    points suivants :
    --
    amélioration des conditions
    d'exploitation de la ruche arabe, qui représente les 8/10""
    des ruches du pays ;
    --
    formation professionnelle apicole ;
    --
    vulgarisation des méthodes modernes de production
    intensive adaptées aux conditions par
    ticulières
    de l'apiculture algérienne.





    AMELIORATION
    DE LA RUCHE VULGAIRE

    ----------Le
    remplacement, sans transition, de la ruche vulgaire par la ruche à cadres
    est apparu impossible immédiatement, en raison du prix élevé du matériel
    manufacturé et de l'ignorance absolue, chez les utilisateurs de la ruche
    vulgaire, des notions élémentaires d'apiculture, indispensables à la con-duite
    des ruches à cadres.


    ----------La
    nécessité de doter l'apiculture traditionne:le d'un instrument pratique
    de travail, d'un rendement nettement supérieur à celui de la ruche archaïque,
    a. conduit à la création d'une ruche de transition entre la ruche vulgaire
    et la ruche à cadre. Rappelant par sa forme extérieure la ruche vul­gaire
    horizontale, exploitée dans l'ensemble du pays, la ruche divisible comporte
    un plancher mobile, trois compartiments juxtaposables, aux plafonds rainurés
    pour permettre la pose de la cire gaufrée. Offrant la plupart des manipulations
    réservées aux seules ruches à cadres, sa conduite reste cependant suffisamment
    proche de celle de la ruche vulgaire ordinaire pour ne pas dérouter son
    utilisateur, qui s'initie progressivement aux opérations de l'apiculture
    moderne : examen du couvain, essaimage arti­ficiel, etc...


    RUCHERS
    DE DEMONSTRATION

    ----------La
    vulgarisation de la ruche divisible s'effectue à partir de ruchers de
    démonstration, installés au sein même des populations à vocation apicole,
    le plus souvent dans le cadre d'un Secteur d'Amélio­ration Rurale. Une
    centaine de ruchers de démonstration répartis sur l'ensemble du territoire
    algérien dispensent un enseignement pratique élémentaire de .l'apiculture,
    en même temps qu'ils constituent des installations-pilotes, utilisées
    pour déterminer, par région, les moments favorables à l'exécution des
    principales opérations apicoles.


    FORMATION
    APICOLE

    ----------La
    formation professionnelle apicole est assurée au cours de stages organisés
    depuis 1947 par la Direction de l'Agriculture et des Forêts à l'Ecole
    Nationale d'Agriculture d'Alger.


    ----------A
    ces stages, participent les agents de l'Administration chargés de la gestion
    d'un rucher de démonstration, ainsi que les particuliers désireux de s'initier
    à l'apiculture ou de perfectionner leurs connaissances. Le nombre d'apiculteurs
    formés par cas stages était de 539 au 31 mars 1958.


    A P
    I C U LTU R E


    Rucher
    de démonstration du S.A.R. AZAIL, SAP de Sebdou


    Modernisation de l'apiculture algérienne 127_apiculture_image

    VULGARISATION
    DES METHODES MODERNES DE PRODUCTION INTENSIVE

    ----------Les
    conditions particulières de l'apiculture algérienne, notamment la précocité
    de nombreuses floraisons constituant la miellée principale, ont conduit
    à la recherche d'une technique d'exploitation permettant d'utiliser au
    mieux les ressources mellifères du pays.


    ----------L'expérimentation
    a. ainsi déterminé les conditions d'application d'une méthode, qui utilise
    les procédés connus de nourrissement stimulant, blocage de ponte, reméragc
    périodique des colonies et qui rend possible, au printemps, une récolte
    de miels de qualité, comme le miel d'oranger.


    ----------Cette
    technique est vulgarisée :
    ---dans tous les Etablissements
    d'Enseignement Agricole d'Algérie ; au cours des stages de formation apicole
    ;
    ---au cours des démonstrations
    organisées par les Services Agricoles
    ---
    dans les ruchers de démonstration et
    plus particulièrement ceux installés dans les Foyers Ru-Taux.


    ----------Cet
    exposé du programme poursuivi par l'Administration Algérienne serait incomplet
    s'il n'était fait mention des activités consacrées à la propagande, à
    l'expérimentation, à la recherche, à la lutte con­tre les maladies des
    abeilles, etc...


    PROPAGANDE

    ----------La
    propagande utilise les moyens ordinaires tels que la diffusion de causeries
    radiophoniques, la publication de brochures et d'articles de presse, les
    conférences, etc... Les effets sont sensibles, non seulement en Algérie,
    où ils donnent lieu à l'échange d'une correspondance active, mais encore
    dans les pays voisins et dans la Métropole.


    RECHERCHES
    TECHNIQUES ET DOCUMENTATION

    ----------Quant
    à l'étude des nombreux problèmes posés par l'Apiculture, elle retient
    également l'atten­tion des Services intéressés. C'est ainsi que l'utilisation
    en agriculture des insecticides organiques de synthèse à grande puissance
    d'action, ont donné lieu à une série d'essais, desquels il résulte que
    dans les conditions de la pratique courante la toxicité de ces produits,
    à l'égard des abeilles, est bien moins importante que ne le faisait supposer
    une nombreuse littérature publiée à ce sujet. Ont été également étudiées
    les possibilités d'emploi de matériel récent (rayon d'aluminium), de nouveaux
    produits (cire synthétique), etc...


    ----------L'étude
    des ennemis des abeilles est également entreprise dans le cadre local.
    Elle a déjà permis de démontrer la nocivité du guêpier (Merops apiaster
    L), communément appelé en Algérie a Chasseur d'Afrique », et de prendre
    des mesures de protection nécessaires.


    ----------En
    outre, des collections (miels, plantes mellifères) sont constituées ;
    une documentation impor­tante est réunie et s'augmente continuellement.


    LUTTE
    CONTRE LES MALADIES DES ABEILLES ET CONTROLE SANITAIRE

    ----------Parallèlement,
    le contrôle sanitaire des ruchers a été organisé. A cet effet, l'Administration
    dispose d'un réseau déjà important­ de plus de cent ruchers-pilotes, disséminés
    sur tout le territoire algérien. Visités périodiquement plusieurs fois
    par an par les techniciens relevant du Service de la Production Végétale,
    ils renseignent sur l'état sanitaire apicole de la région. De plus, les
    moniteurs apicoles qui les entretiennent sont à même, par l'action de
    vulgarisation qu'ils exercent auprès des apiculteurs voisins de vérifier
    l'état des ruchers existant dans la régionTout cas douteux est immédiatement
    signalé au Service de la Production Animale chargé du contrôle sanitaire
    apicole et les prélèvements nécessaires effectués.


    ----------De
    nombreux apiculteurs contribuent également à cette action de dépistage,
    en demandant l'exa­men sanitaire de leur exploitation.


    ----------Cette
    action de protection du cheptel apicole algérien ne s'exerce pas seulement
    à l'intérieur du territoire. Un contrôle sévère est opéré aux frontières.
    Il porte sur l'examen bactériologique des miels et cires importés, ainsi
    que sur la mise en observation des abeilles introduites dans le pays.


    o O o

    ----------Ainsi
    le programme appliqué en vue de développer et rénover l'apiculture algérienne
    s'adresse à la plupart des questions pour lesquelles l'intervention des
    Services Publics peut et doit être envisagée.


    ----------A
    cette action, les organisations professionnelles apportent une collaboration
    active, notamment dans le cadre de la formation apicole. Cet effort poursuivi
    en commun doit mener, dans un avenir prochain, à l'accroissement d'une
    richesse naturelle, à laquelle revient une place importante dans l'économie
    du pays.

    Admin
    Admin

    Messages : 143
    Date d'inscription : 27/08/2010

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