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des antibiotiques en usage apicole

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des antibiotiques en usage apicole Empty des antibiotiques en usage apicole

Message par Admin Sam 13 Aoû - 19:40


Utilisation des antibiotiques. Restons vigilants !



Avec l'aimable autorisation de la revue "La Santé de l'Abeille"





des antibiotiques en usage apicole PunaiseDepuis
leur apparition dans les années 1940, les antibiotiques ont permis de sauver des
millions de vie humaine.

Mais dès 1947, l¹apparition des premières résistances à la pénicilline ont
alerté la communauté scientifique.

De nos jours, la résistance des micro-organismes aux antibiotiques est
considérée comme un problème majeur de santé publique. Ce problème s¹est posé en
premier dans le milieu hospitalier où les agents pathogènes sont soumis à
diverses molécules et ont ainsi acquis une multirésistance. La résistance ne
s¹est pas cantonnée à l¹hôpital. On la retrouve actuellement autour de nous. à
titre d¹exemple, le taux de résistance à la pénicilline des agents responsables
des affections broncho-pulmonaires est passé de 3 % à plus de 50 %.

Pour comprendre pourquoi une telle situation s¹est créée, il faut savoir qu¹une
bactérie est un être vivant capable d¹évoluer en fonction des contraintes de son
milieu. Nous retrouvons le même phénomène avec l¹adaptation de Varroa destructor
au fluvalinate. Il s¹agit en fait d¹une évolution par rapport à un changement du
milieu d¹origine.

L¹antibiotique est responsable de ce que l¹on appelle une pression de sélection.
En effet une bactérie devenue résistante à un antibiotique va se développer
prioritairement (le médicament n¹arrête plus la multiplication), les autres
bactéries dites sensibles à l¹antibiotique (sur lesquelles l¹antibiotique agit)
vont être éliminées. Le champ est libre alors pour le développement de la
bactérie résistante.

La résistance s¹acquiert de plusieurs manières en ce qui concerne les bactéries.

La mutation est une des premières possibilités, même si sa fréquence est peu
importante. Tout au plus 10 % des bactéries mutent, c¹est à dire modifient leur
patrimoine génétique et deviennent résistantes.

Les autres possibilités sont beaucoup plus inquiétantes car elles peuvent se
développer entre bactéries d¹espèces différentes. Il s¹agit de la conjugaison


(le gène de résistance est copié et transféré à une autre bactérie), de la
transduction (le gène de résistance est transmis à une autre bactérie par un
virus), de la transformation (la bactérie incorpore dans son patrimoine
génétique un fragment d¹ADN présent dans le milieu et porteur de la résistance).

Le développement des résistances proviendrait également des bactéries
naturellement résistantes que l¹on trouve fréquemment dans l¹environnement. Le
gène responsable de la résistance de ces bactéries est qualifié de sauteur,
ayant la particularité de passer à une autre bactérie par un phénomène similaire
à celui que dans l¹informatique, on définit par couper-coller.

En conclusion, l¹usage abusif et inadapté des antibiotiques favorise
l¹apparition de souches résistantes, ce qui est très grave car le nombre
d¹antibiotiques utilisables est tout de même limité.

Mais l¹attention ne doit pas se limiter seulement à l¹utilisation humaine.

L¹emploi des antibiotiques en santé animale doit aussi être mis en cause. En
effet des bactéries résistantes d¹origine animale peuvent très bien en raison
des contaminations se retrouver dans l¹alimentation humaine au contact de
bactéries non résistantes. Des échanges de gènes peuvent alors se produire. La
résistance peut se transmettre à des bactéries pathogènes pour l¹homme.

Compte tenu de la présence de résidus d¹antibiotique dans les produits de la
ruche, même à dose très faible, il est nécessaire d¹attirer une fois de plus
l¹attention sur le mauvais emploi de ces médicaments en apiculture.

Si l¹on utilise des antibiotiques, seulement en cas de nécessité absolue, il
faut :

des antibiotiques en usage apicole Fr_relief limiter l¹application des antibiotiques aux ruches
malades,

des antibiotiques en usage apicole Fr_relief respecter la posologie,

des antibiotiques en usage apicole Fr_relief réaliser le transvasement des ruches malades.

Le traitement doit être fait sur prescription d¹un
vétérinaire et l¹ordonnance jointe au carnet d¹élevage.

Les traitements systématiques n¹ont aucune utilité et sont à proscrire.

Se passer de l¹utilisation des antibiotiques est possible et très fortement
recommandé. Les méthodes de transvasement, d¹isolation des colonies donnent de
bons résultats et sont à préconiser.





À propos
des antibiotiques...
...en usage apicole

par Jean-Marie BARBANÇON, Docteur Vétérinaire
(crédit photographique : Jean-Paul FAUCON)


Avec l'aimable autorisation de la revue "La Santé de l'Abeille"





des antibiotiques en usage apicole PunaiseLes principales maladies de l’abeille pour lesquelles
sont indiqués les antibiotiques, sont les loques américaine et européenne, toutes deux,
dues à des bactéries ainsi que dans la lutte contre la nosémose, cette dernière étant
provoquée par un protozoaire.



Le terme antibiotique est
utilisé au sens large. Il faut plutôt le comprendre comme un anti-infectieux. Dans les
anti-infectieux sont classées diverses substances dont les antibiotiques au sens strict,
les sulfamides, etc.


Contre la nosémose, le seul antibiotique dont l’efficacité
soit reconnue est la fumagilline, FUMIDIL B. La spécificité et le prix de ce dernier
médicament contribuaient en grande partie à limiter son utilisation à sa seule
indication, mais depuis janvier 2000, il n’est plus commercialisé.

Il n’en va malheureusement pas ainsi contre les loques où l’on a encore
tendance à pratiquer ce que l’on appellera pudiquement des traitements de
précaution. Mais où en sommes-nous avec l’emploi raisonné de
l’antibiothérapie en apiculture ? En toute logique et d’une façon idéale pour
lutter contre un germe pathogène, le thérapeute se devrait d’employer
l’antibiotique pour lequel le ou les germes (bactéries) sont sensibles. En médecine
humaine ou vétérinaire, dans la plupart des maladies infectieuses, une recherche sur
l’agent infectieux est effectuée à la suite d’un prélèvement qui permet en
laboratoire :



des antibiotiques en usage apicole Valide l’identification et le typage
des bactéries en cause après mise en culture ;


des antibiotiques en usage apicole Valide puis souvent : antibiogramme, grâce
auquel on teste la sensibilité ou la résistance du germe concerné face à une palette
d’antibiotiques : petites pastilles de papier imprégnées des différents
antibiotiques que l’on pose sur les cultures microbiennes.




des antibiotiques en usage apicole Antibiotiques_1
Spores de loque américaine
Démonstration de l’utilisation des
antibiotiques lors d’un cours de pratique sanitaire apicole (cours DGAl) =>
des antibiotiques en usage apicole Antibiotiques_2


Au vu du résultat de ces recherches, le praticien (médecin,
vétérinaire) prescrit la substance antifectieuse qui semble la plus performante. Voilà
la démarche idéale ! Hélas, malgré cette rigueur, le praticien constate quelquefois
des distorsions entre ce qui s’est passé in vitro (au laboratoire) et les résultats
obtenus in vivo sur le(s) patient(s). Mais ici tout a été fait dans les règles de
l’art : diagnostic clinique, diagnostic de laboratoire et traitement raisonné.
Qu’en est-il en matière apicole et notamment de loque américaine ?



des antibiotiques en usage apicole Valide Le diagnostic clinique suite à l’observation
des symptômes exprimés dans les colonies est-il certain ?
des antibiotiques en usage apicole Valide Un prélèvement et une recherche de l’agent
infectieux au laboratoire ont-ils été réalisés ?

Ce dernier point amène une observation et permet d’exprimer
un regret : pour réaliser un antibiogramme il faut nécessairement pouvoir cultiver au
laboratoire le germe identifié comme pathogène. L’agent causal de la loque
américaine, Paenibacillus larvae (= Bacillus larvae), est facile à
identifier ; en revanche, sa culture in vitro est
assez délicate. Dans certains pays, les chercheurs le cultivent (Argentine, Japon,
États-Unis, Grande-Bretagne...), mais en France, personne ! du moins à notre
connaissance. Pourtant, quand on se plonge dans de vieux traités de pathologie apicole
français, on constate que cela a déjà été fait ! Mais me direz-vous, les temps
changent !



À l’époque où l’on faisait cela, les chercheurs des
Instituts ou Laboratoires d’État qui se préoccupaient de pathologie apicole
n’avaient pas encore été transformés par le Système en prestataires de services
et en mercenaires, et n’avaient pas de préoccupation en matière de rentabilité.
Donc en France, si personne ne cultive Paenibacillus larvae, personne ne peut
réaliser d’antibiogramme ! Alors que fait-on ?

Et bien, la vulgarisation et les habitudes ont fait que depuis des années une seule et
même famille d’antibiotiques est préconisée : celle des cyclines (tétracycline,
oxytétracycline). Pourtant, depuis, la chimie des antibiotiques a fait des progrès et
bien d’autres substances ont fait leur apparition, sans compter que d’anciens
bactéricides présentent encore un intérêt en matière d’efficacité. Autre fait
marquant : dans certains pays où l’on pratique des antibiogrammes sur le bacille
loqueux, des résistances de ce germe aux tétracyclines ont été établies ainsi que des
sensibilités à d'autres antibiotiques. Certaines souches de Bacillus larvae ont
donc bien pu, au fil des années, développer une résistance aux tétracyclines, un peu
comme Varroa jacobsoni l’a fait vis-à-vis du fluvalinate.

En dehors de ces phénomènes de résistance face à un antibiotique, un autre aspect de
l’utilisation de telles substances en apiculture est trop souvent négligé :
c’est celui de leur forme galénique où des notions comme la solubilité dans
l’eau, la durée de vie active, pH de milieu requis, entrent en ligne de compte.



Rappel du
traitement de la loque américaine :


<table border="0" cellpadding="0" cellspacing="0" width="100%">
<tr>
<td valign="baseline" width="42">des antibiotiques en usage apicole Valide</td>
<td valign="top" width="100%">Suppression des colonies trop
affaiblies par la maladie
</td>
</tr>
<tr>
<td valign="baseline" width="42">des antibiotiques en usage apicole Valide</td>
<td valign="top" width="100%">Traitement antibiotique +
transvasement
</td>
</tr>
<tr>
<td valign="baseline" width="42">des antibiotiques en usage apicole Valide</td>
<td valign="top" width="100%">Réduction à l’état
d’essaim nu, claustration et installation en ruche désinfectée et sur cires non
infectées : antibiotique non obligatoire ici ; certains de nos anciens guérissaient la
loque américaine de cette façon-là il y a 400 ans et ne disposaient pas
d’antibiotiques !
</td>
</tr>
</table>


Combien de fois nous a-t-il été permis de constater la mauvaise
solubilité de telle ou telle poudre jaune vendue sous le nom de machin-cycline ! Pour
vérifier, il suffit de faire un petit échantillon : poudre + eau, d’agiter, de
laisser reposer et de contrôler le lendemain. Quelquefois, oh surprise ! les cristaux que
l’on croyait dissous, sont retrouvés 24 heures après, déposés au fond du tube !

Donc s’il est dit que l’on doive continuer traiter la loque américaine grâce
à l’emploi de substances antibiotiques, doit-on toujours tabler sur une discutable
efficacité des cyclines ? ou bien essayer d’être un peu plus rigoureux !

Dans quelques pays (Grande-Bretagne, Belgique par exemple) où il est interdit de traiter
la loque américaine, les ruchers reconnus infectés sont détruits. En d’autres
contrées, certains apiculteurs vont vers une systématisation (généralisation,
banalisation) de l’usage des antibiotiques : distribution de sirop médicamenteux à
l’abreuvoir, au milieu du rucher (États-Unis) ; mélange antibiotique avec graisse
végétale posé sur les cadres (pas toujours consommé !), insufflation de poudre
antibiotique dans toutes les ruches à la pompe. Pourquoi ?



1. Le rucher est infecté
et la distribution d’une substance antibiotique est la seule intervention envisagée.
Dans ce premier cas, le seul résultat à espérer sera un blanchiment provisoire des
colonies. C’est un peu comme si l’on prétendait soigner un abcès déjà mûr
par la seule intervention des antibiotiques, sans pratiquer l’acte chirurgical qui
consiste à évacuer le pus par l’incision de l’abcès. Dans le cas de la loque,
le pus est représenté par le couvain malade, car il contient des milliards de germes
sous forme de spores.



2. Un traitement de
précaution contre les loques ?

Un peu comme s’il s'agissait d’un traitement préventif.

Peut-être est-il bon de rappeler que les antibiotiques n’agissent que sur les formes
végétatives du bacille de la loque américaine, et n’ont absolument aucune action
sur ses spores (formes de résistance). Spéculer sur une action à l’encontre des
formes végétatives qui se développeraient à partir de spores présentes dans la ruche,
c’est admettre une longue persistance de l’antibiotique dans les colonies,
persistance incompatible avec les délais d’attente pour la consommation du miel.

3. Recherche d’un effet dopant sur les
colonies ?

Autre raison de l’emploi inconsidéré des antibiotiques. En effet, il n’a
jamais été établi d’une façon scientifique que ces substances pouvaient avoir un
tel effet. Au contraire, il a même été montré que les antibiotiques anti-bactériens
pouvaient favoriser le développement. Abordons maintenant le problème de la persistance
de substances étrangères dans nos colonies d’abeilles. Les substances étrangères
introduites dans une ruche n’étant hélas pas toutes repérables à l’œil
nu, un test édifiant, très simple, à la portée de tout apiculteur ou mieux du
rucher-école, vous est proposé : le test du sirop coloré, du sirop de grenadine, fait
parfaitement l’affaire ! On administre donc ce sirop à une colonie ayant déjà
quelques provisions et établie sur cires jeunes et encore bien claires, ce qui permet de
suivre l’évolution du colorant dans les cadres par transparence. Si cette colonie ne
subit pas de période de disette qui occasionnerait la consommation rapide du sirop
coloré, le colorant, rouge en l’occurrence, va persister pendant plusieurs semaines
en se diluant progressivement au fil des apports de nectar.

Maintenant imaginez une substance étrangère (antibiotique, acaricide) en lieu et place
du colorant et vous comprendrez mieux que l’on puisse retrouver des résidus de
produits de traitements dans le miel. De l’intérêt d’effectuer les divers
traitements loin des miellées !



des antibiotiques en usage apicole Antibiotiques_3
Un antibiogramme (évaluation de l’efficacité des
antibiotiques)


Les antibiotiques : substances banales ? Non, certes pas. Leur
emploi abusif présente des risques à cause des résidus que l’on peut retrouver
dans le miel. Certains pays n’admettent aucune trace d’antibiotique dans le miel
(Suisse : 0 ppb*) ou n’en tolèrent que de très faibles quantités (Allemagne : 10
ppb*).



* ppb : partie par billion
Remarque : À l’heure actuelle, en France, aucun antibiotique ne possède d’AMM
pour l’espèce abeille.


Les antibiotiques éventuellement présents dans le miel, ou dans
toute autre denrée alimentaire d’ailleurs, sont ennuyeux pour la santé humaine :



des antibiotiques en usage apicole Valide risque de déclenchement d’allergies et ce,
même à de très faibles doses ;
des antibiotiques en usage apicole Valide risque de provoquer la sélection de souches
résistantes parmi les germes pathogènes de l’Homme.

Il est peut-être intéressant de savoir que dans la courte
histoire des antibiotiques, on a déjà interdit l’usage d’un antibiotique en
pharmacie vétérinaire (le chloramphénicol), où il était largement employé, cela à
la principale fin d’en préserver l’efficacité chez l’Homme où, du reste,
on le réserve au milieu hospitalier.



des antibiotiques en usage apicole PunaiseEn conclusion, nous pensons qu’il existe
certainement un moyen terme entre la non utilisation des antibiotiques associée à la
destruction des ruchers atteints de loque américaine et l’emploi aveugle et
systématique des dites substances. Il sera certainement possible d’être plus
performant dans la lutte contre cette maladie de l’abeille le jour où l’on se
décidera d’améliorer le dépistage des cas, de respecter les consignes classiques
de traitement et enfin quand on voudra bien administrer aux colonies justiciables du
traitement médicamenteux l’antibiotique le plus adapté. On peut également fonder
un espoir de lutte contre les infections du couvain (loques, mycoses) ainsi que contre
l’infestation par Varroa jacobsoni, grâce à la sélection d’abeilles
possédant un bon comportement hygiénique leur permettant de détecter, de désoperculer
et d’éliminer le contenu des cellules malades.



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Jean-Marie BARBANÇON, Docteur
Vétérinaire


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